Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 00:37




Jacques d'Icy - "... Châtie bien"  (extraits)



   Des quelques exemples que nous avons cités, on peut tirer cette conclusion que les avis sont loin d'être unanimes en ce qui concerne les préférences des flagellantes passives.
   Les unes préfèrent la verge, les autres le martinet, et il en est encore qui en tiennent pour la fessée manuelle.
   Ces dernières ont quelque apparence d'avoir raison en prétendant que la main, l'outil par excellence, permet au fouetteur de se rendre compte exactement de ce qu'il fait, pour ainsi dire à chaque coup, et d'en juger par le degré de chaleur et de rougeur atteint par les précieuses convexités.
   A cela les adeptes du martinet répondent que l'effet qu'il produit est infiniment plus complexe et plus délicat.
   Mais, de même que pour la fessée manuelle, s'il y a la manière, en quoi consiste-t-elle ?
   Nous inspirant des avis les plus autorisés parmi celles qui adorent le martinet, voici comment il convient de s'en servir.
   Tout d'abord, disons que l'instrument duquel on se sert est détestable quand il est neuf
   On doit avoir émoussé les arêtes de chaque lanière et affiné leurs extrémités sur un morceau de bois, frappé violemment après avoir mouillé d'eau le martinet.
   En général, ceux que l'on achète tout faits sont trop longs de lanières et de manche. Il faut réduire ces lanières à la longueur de vingt ou vingt-cinq centimètres au plus, et le manche à celle de douze ou quinze.
   L'instrument ainsi préparé, lorsque l'on s'en sert enfin sur un but plus agréablement suggestif, ne doit pas être manié avec de grands mouvements de l'avant-bras. C'est à la main seule qu'il appartient de le faire agir, en se tournant sur le poignet, dans un mouvement rotatoire, à rebours, de la même manière que l'on bat les veufs à la neige.
   On imprime ainsi au martinet un tournoiement continu et c'est la pointe seule des lanières qui vient effleurer, à peine cinglante, la peau délicate.
   Ce mouvement giratoire du martinet est des plus faciles à acquérir. Il suffit d'avoir vu pratiquer une fois la manoeuvre pour se rendre compte que, de cette façon, l'effet ne peut être cruel.
   Si, au lieu de procéder ainsi, on abattait, de haut en bas, ou en travers, sur les fesses nues, le milieu ou la partie terminale des lanières, sûrement il arriverait qu'à un moment quelconque l'extrême pointe irait trop loin sur les côtés, précisément sur les hanches, vers l'attache de la cuisse, où la chair n'a qu'une mince épaisseur par-dessus l'ossature, et la douleur serait intolérable.
   Il en est de même pour la verge et ce n'est pas à grands coups qu'on doit frapper. Les dessins, tout de fantaisie, qui ornent les livres de flagellation, et où l'on voit des fouetteurs claquant ou cinglant avec une verge, un martinet, et tenant leur bras étendu et allongé, sont d'une insigne fausseté.
   La fessée manuelle est toujours administrée avec le bras ployé et c'est la main seule qui est agitée de mouvements de haut en bas ; à peine l'avant-bras a-t-il de légères oscillations. Notre illustrateur, l'artiste probe et sincère que l'on connaît, a saisi à merveille ces nuances de délicate observation, avec toute la conscience qui caractérise son remarquable et distingué talent.
   Pour la verge donc, comme pour le martinet, et pour les mêmes raisons, c'est la main seule qui travaille ; mais, cette fois, elle n'agit pas en tournant ; mais, de haut en bas, s'élevant au-dessus du poignet et s'abaissant ensuite, tout à fait dans le geste du chef d'orchestre battant avec son bâton la mesure à deux temps, avec cette seule différence que la cadence est infiniment plus rapide.
   C'est l'extrême pointe de la verge qui vient alors frapper la partie intéressée — si intéressante, Mesdames — et une multitude de petits picotements, en quelque sorte électriques, y font alors éprouver une sensation, ou plutôt une myriade de sensations des plus curieuses, en aucune façon douloureuses – fort différentes de ce qu'elles seraient si l'on appliquait la verge à plat, sans se préoccuper des côtés des rondeurs que la terminaison des brindilles cinglerait affreusement.
   Les verges les meilleures sont celles de genêt et de bruyère ; il faut les assouplir d'avance, chaque fois, par un séjour d'une heure dans l'eau, et les bien égoutter. Le bouleau est un peu brutal.
   Quant aux martinets, c'est en peau de porc, et sur commande, qu'ils doivent être faits par un bourrelier. Ceux des bazars ne sont pas fameux, à moins de les modifier comme nous l'avons indiqué.
   L'emploi de la serviette mouillée compte de nombreux partisans. La serviette – de préférence une serviette-éponge – après avoir été plongée dans l'eau et bien égouttée, est pliée en quatre ou en huit.
   Avant de s'en servir pour fouetter, et après aussi, on peut, en la faisant tourner comme le martinet et en effleurant seulement la peau, sans y toucher, provoquer, se répandant par tout le corps, une fraîcheur délicieuse, particulièrement appréciée pendant les chaleurs de l'été. Comme prélude, c'est exquis comme finale, c'est idéal !
   Disons un mot des orties, dont la terrible réputation est considérablement surfaite. Elles ne sont cruelles en rien, si l'on possède le secret de les employer, c'est-à-dire avec douceur, à petits coups assenés à faible distance. L'effet produit est inimagiPour les fessées manuelles, il y a bien des manières de les administrer. Chacun croit la sienne préférable à toutes les autres ; mais, la seule opinion qui puisse nous fixer sur sa valeur, c'est celles des aimables personnes appelées à en juger par elles-mêmes.
   Encore, les verra-t-on bien divisées dans leurs appréciations ! Il y a des femmes qui aiment à être fouettées doucement, et d'autres fort, très fort, très, très fort.
   Le mieux est donc de conformer sa manière au tempérament particulier de chacune d'elles, dont il est difficile de préjuger sur la seule apparence.
   Un flagellateur expérimenté disait que les femmes grandes et minces supportaient mieux la fessée que les grassouillettes. Leurs chairs sont consituées par des muscles, rien que par des muscles, et sont plus endurantes que celles, plus grasses, des femmes replètes que la prédominance du tissu adipeux rend douillettes, en général.
   Mais, dans cela comme dans tout, ce serait se montrer outrecuidant que de prétendre formuler une règle absolue ; d'autant plus qu'étant capricieuses par essence, ces dames ont leurs jours et, si dans certains de ceux-ci où elles ont besoin de solitude et de repos, on ne doit pas les battre, même avec une fleur, dans d'autres, où les mêmes femmes sont alanguies ou nerveuses, c'est une bonne fessée qu'il leur faut ; mais, donnée amoureusement et qui leur fera le teint clair et les yeux brillants !
(À titre purement statistique et documentaire, disons que si les unes se contentent de deux cents claques, les autres en veulent cinq cents et davantage, et que l'on cite des dames à qui un millier suffit à peine. Disons aussi qu'il s'en trouve qui veulent encore être frappées sur les cuisses et les mollets et non pas seulement sur les fesses.)




***




   La fessée est indissociable de l'instrument de son application. Chaque instrument à son usage, son charme, et surtout, sa charge symbolique...



La fessée à main nue

   La fessée à main nue présente d'abord l'attrait indéniable de l'offrande du postérieur nu sur les genoux. Mais elle a aussi un autre avantage, celui de pouvoir commencer comme une caresse, mais en étant susceptible au besoin de se muer peu à peu en sévère correction...




Le martinet à fines lanières


   Le martinet à lanières fines et multiples (15 à 20) peut lui aussi commencer comme une longue et soyeuse caresse sur tout le corps. Il permet ainsi d' "apprivoiser" l'idée même de fessée. Grâce à sa douceur, il peut être appliqué pendant un très long moment sans faire plus que de bien colorer les fesses et de faire monter la température. Il peut se suffire à lui même pour des moments d'érotisme "soft". Mais il est aussi idéal pour préparer les fesses à la suite...




Le martinet à lanières moyennes


   Il possède généralement 10 à 12 lanières, idéalement faites d'un cuir à la fois souple et lourd. C'est un instrument qui peut s'avérer très cuisant pour les fesses sensibles. Il permet de commencer à goûter vraiment au mordant d'une lanière de cuir bien appliquée, sans blesser pour autant, si les lanières sont d'un cuir souple et de qualité. Il permet aussi d'accentuer progressivement  l'intensité de l'application, pour un "degré" de fessée qui peut aller de moyen à sévère...




La ceinture de cuir


   Assez longue et large de quelques centimètres, elle doit être faite dans un cuir bien épais, quoique très souple. Il faut la réserver à des mains expertes, et surtout elle demande une grande relation de confiance entre les deux complices, car elle peut être redoutable. Mais, raisonnablement maniée, elle permet de donner sans blesser des fessées profondes, puissantes, prolongées, et de goûter vraiment  à la flagellation du cul.





La verge de cuir


   La verge de cuir est une sorte de "baguette" de cuir, souple mais très lourde. Son diamètre peut aller de 5 à 8mm environ. Elle peut être par exemple contituée d'une bande de cuir doux roulée sur elle même, maintenue par une fine couture. La verge de cuir permet des fessées d'autant plus sévères et prolongées qu'elle ne blesse pas la peau comme peut le faire la canne anglaise en rotin, ou une badine de bois, même souple.








QUELQUES CREATIONS ARTISANALES





Voici quelques objets que je trouve aussi beaux qu'intéressants...




Banc d'éducation - création Xavier Decana - www.xavierdecana.eu


banc_d_education-creation-Xavier-Decana.gif




Croix de Saint-André - Xavier Decana

croix de st-andre






Carcan - Xavier Decana



Carcan 3






Carcans en bois brut



Carcan 1



Carcan 2

Par André de Sainte-Croix
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Commentaires

Ces créations sont magnifiques. Je serais ravi de les essayer.
commentaire n° :1 posté par : Chris888 le: 23/06/2010 à 03h01
Le meilleur instrument pour caresser la femelle durement reste la badine ou la canne en bois dure sur les parties sensibles, chatte, intérieur des cuisses, mamelles. Il ne s'agit pas de faire jouir mais de leur faire regretter d'etre née femelle et pour cela la pendaison par les pattes écartées est la meilleure position et permet une fellation pendant les pauses et l'étrillage, des trous après les avoir pimentés, après ça vous verrez elles vous obéiront bien et vous lécherons le cul
commentaire n° :2 posté par : Crapaudine le: 22/07/2014 à 14h39
Dans nos écuries, nous employons le premier instrument pour les saillies chevalines des femelles adultères, après un long badinage des fesses et des cuisses pour adoucir la pénétration qui se fera à sec et complète( 60 cm) par la chatte ou le boyau, une punition très dure mais qui a pur effet de remettre la femelle dans le droit chemin, bien déchirée, elle y regardera à deux fois avant de trompé son mari, rares sont les récidivistes, si vous avez des doutes sur votre femelle, faites là assister à cette punition, elle comprendra ce qui l'attend au cas où elle aurait des envies malsaines. On peut se charger aussi de faire avouer les femelles dans notre salle d'inquisition, meme les plus coriaces finissent par avouer n'importe quoi.
commentaire n° :3 posté par : Palan le: 08/07/2017 à 10h24
Le carcan longtemps employé par les inquisiteurs était le meilleur instrument pour tourmenter longuement les femelles. Il permettait un accès facile aux orifices mais aussi aux mamelles souvent travaillées à la main avant de l'etre aux instruments, étirement et torsions des tétons à la main et à la pince jusqu'à arrachement, bastonnage pour les gros pis entre autres gateries. les jeux duraient plusieurs jours jusqu'à l'extraction des ovaires et du boyau pour les cas difficiles
commentaire n° :4 posté par : Pilonna le: 01/03/2018 à 09h39
Le carcan permet à la femelle de remuer et d'offrir un bon spectacle lors des punition, il est aussi employé sur les marchés aux truies pour une inspection approfondie par les maquignons avec des commentaires crus sur les trous et la palpation des mamelles
commentaire n° :5 posté par : Mounia le: 30/07/2019 à 09h52
Le dernier permet l'immobilisation des 4 membres, jambes largement écartées pour un travail plus facile des trous, fists profonds , saillies, flagellation et bastonnade du sexe, employé couramment par les inquisiteurs, il est utilisé maintenant pour les femelles rétives à la contribution en foyers ou pour des spectacles hard sans limites pour punir les esclaves au gré de leurs tourmenteurs
commentaire n° :6 posté par : Pubis le: 24/07/2021 à 11h22
Le dernier est aussi utilisé pour le vélage des femelles dans les fermes de reproduction intensive, elle devra pondre seule ou par fist anal, c'est toujours un spectacle pour les amateurs de sensations fortes
commentaire n° :7 posté par : Veleur le: 24/07/2021 à 11h30

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