Le blog de André de Sainte-Croix
La fessée se joue dans le plus privé des théâtre. Un théâtre où il n'y a que deux places. Un acteur, un
spectateur. Mais qui est l'acteur, qui est le spectateur?
Ce théâtre privé est le lieu de tous les possibles. Le lieu où les timides confrontés à leur vraie nature peuvent être des lions, et aussi le lieu où les dominateurs peuvent trouver enfin l'occasion de relativiser la notion même d'autorité et de pouvoir.
La fessée est un partage. Un partage unique, permis par la confiance absolue que cette pratique exige entre les deux complices.
La fessée est une thérapie. Valescus de Tarente ne recommande-t-il pas de "frapper la malade à grands coups de verge sur les fesses, pour que le désir survienne".
Mais si la fessée est un partage, si la fessée est une thérapie pour le corps et l'esprit, si la fessée a tous ces multiples pouvoirs, c'est parce qu'elle est d'abord un plaisir. Mais, un plaisir qu'il faut oser...
Ce théâtre privé est le lieu de tous les possibles. Le lieu où les timides confrontés à leur vraie nature peuvent être des lions, et aussi le lieu où les dominateurs peuvent trouver enfin l'occasion de relativiser la notion même d'autorité et de pouvoir.
La fessée est un partage. Un partage unique, permis par la confiance absolue que cette pratique exige entre les deux complices.
La fessée est une thérapie. Valescus de Tarente ne recommande-t-il pas de "frapper la malade à grands coups de verge sur les fesses, pour que le désir survienne".
Mais si la fessée est un partage, si la fessée est une thérapie pour le corps et l'esprit, si la fessée a tous ces multiples pouvoirs, c'est parce qu'elle est d'abord un plaisir. Mais, un plaisir qu'il faut oser...
Sam 22 aoû 2009
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